MERLIN, UNE EMPREINTE CARBONE MINIMALE

En cette journée de l’énergie, nous sommes fiers de vous annoncer que MERLIN est bon dernier dans la production de carbone, avec une empreinte carbone 19 fois inférieure à celle d’un produit d’entretien classique.

Ce chiffre, c’est la société GREENLY qui l’a calculé, une société labellisée par le Ministère de la Transition Écologique et sous licence Bilan Carbone®. Parce nous aussi, nous souhaitons nous engager pour le climat et l’environnement depuis le début de l’aventure MERLIN, nous avons demandé à Greenly de calculer notre empreinte carbone. Confiants après tous les efforts effectués pour réduire notre consommation d’énergie en amont comme en aval de la production.

Mais en fait, l’empreinte Carbone, qu’est-ce-que c’est ?

L’empreinte carbone est la mesure de la quantité de gaz à effet de serre émise par une activité humaine, en fonction de sa consommation en énergie et en matières premières *.

*(Définition du site Oxfam)

Un calcul qui adopte une vision holistique

Ce qui est intéressant dans la démarche Bilan Carbone®, c’est de ne pas regarder les problèmes par un petit angle, avec le risque de tomber dans le greenwashing où l’on se réjouirait un peu trop vite d’un bon résultat sur tel ou tel aspect de notre produit.

L’idée est de vraiment évaluer l’impact que génèrent les produits que l’on met sur le marché, depuis le choix des ingrédients, en passant par la méthode de fabrication, jusqu’à l’utilisation du produit et sa fin de vie.

Comment MERLIN réduit-il autant son empreinte carbone ?

1.La première étape, c’est de repenser les produits d’entretien pour proposer des produits aussi efficaces et faciles à utiliser, en se débarrassant du superflu. Quand on sait qu’un Nettoyant multi-usages, c’est plus de 90% d’eau, une amélioration simple c’est de ne vendre que les actifs à diluer chez soi ! 0 transport d’eau = des produits moins lourds et donc moins énergivores sur le plan du transport.

2. La deuxième étape passe par l’utilisation de flacons durables et réutilisables. Ce qui ne va pas sur le marché actuel, c’est que l’on achète des flacons pour les jeter 3 ou 4 mois après, alors qu’ils fonctionnent encore parfaitement ! Un des gros défauts du plastique est aussi une de ses qualités : il dure très longtemps… Mais parce qu’on considère encore le plastique comme une matière jetable, on accepte de jeter des contenants en masse. Et ces contenants ne sont recyclés que dans 1 cas sur 2. Pour le reste, ils terminent souvent incinérés ou enfouis.

3. La troisième étape c’est le travail sur les formules pour avoir le moins d’ingrédients possibles tout en préservant l’efficacité, et des ingrédients approvisionnés en France ou dans les pays voisins pour réduire les distances avec notre lieu de fabrication, l’ESAT de Taverny (95).

Des ingrédients issus d’une valorisation de biodéchets, dans une démarche d’économie circulaire

Enfin, il y a aussi l’exigence sur le choix des matières premières pour privilégier les ingrédients biosourcés, c’est-à-dire issus d’une valorisation de biodéchets. Nos ingrédients sont ainsi issus à plus de 80% d’une valorisation de biodéchets ! Une démarche qui s’inscrit dans la logique de l’économie circulaire !

Chez MERLIN, quand on fait dans le propre, on ne le fait pas à moitié ! Et la plus belle récompense à tous ces efforts, c’est de vous permettre d’avancer sur le chemin de la transition écologique et faire un geste quotidien pour le climat.